"et puis le jour est venu comme d'habitude,
"et puis le jour est venu comme d'habitude, en larmes et pret pour la comédie. Et encore une fois la comédie c'est proposée. Et au contraire de mourir, je suis allée vers cette terasse dans le parc et sans emotion j'ai dit à voix haute la date qu'il était le lundi 15 juin 1981, et que vous étiez parti dans la chaleur terrible pour toujours et que je croyais oui, cette fois, que c'étais pour toujours.
je crois que je ne souffrais pas de votre départ. Tout était là comme d'habitude, les arbres, les roses, l'ombre tourant autour de la maison sur la terrasse, l'heure et la date et cependant vous étiez absent. Je ne croyait pas qu'il vous fallait revenir. ......je me suis dit que je vous aurais aimé. Je pensais qu'il me resterait de vous un souvenir hésitant, mais non, je me trompais, il restait ces plages autour de vos yeux, là où embrasser comme là s'étendre sur le sable tiède, et ce regard centré sur la mort." l'hoMme A M_D
tandis que je relis il y cette phrase :
tandis que je relis il y cette phrase :
"c'est à votre incomprèhension que je m'adresse toujours. Sans cela vous voyez ce ne serait pas la peine"
Vincent Delerm Olympia (31 mai 07)envoyé par
Vincent Delerm Olympia (31 mai 07)
envoyé par TheOlive31
on croit se déchirer_contre_ sur des
on croit se déchirer_contre_ sur des barbellés_puis la vie_dépose_une offrande_on se dit qu'on a pas le droit d'y toucher_que des lèvre si fraiche_ne devrait jamais mordre_dans la chaire presque_déjà_flétrie_et puis_&_puis_la statue aux horlogues_devait être là pour rappeller le temps_mais elle est restée_supendue_le tout_a été suspendu_toi_moi_moi & toi_dans l'en dehors du temps